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NAIMIKO PROD

La présenation

NAIMIKO PROD est né en 2017,
Dans l’Oise (60) à Chantilly exactement, en plein dans le monde des courses hippiques.

 

En 2018, l’entreprise devient ardéchoise et commence à diversifier ses productions.


Depuis 2021 NAIMIKO PROD est implanté à Lussas au village documentaire.

Ce qui lui permettra de collaborer sur beaucoup de projets avec NEOS FILMS,

Et lui donnera par la suite l’occasion de professionnaliser encore plus ses productions, et

de reprendre la majeure partie du répertoire de ses confrère, à la suite de l’arrêt de leurs activités.

 

Aujourd’hui le petit bureau de Lussas s’est agrandi et s’est transformé en studio de tournage,

photo et de post-production.

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Depuis 2018, notre activité n’a fait qu’évoluer et nous a permis de collaborer

avec différentes entreprises de renommées internationales, collectivités, artistes et de voyager dans plusieurs pays.

NAIMIKO PROD

L'origine

Je m’appelle Korentin Naïmi, créateur et gérant de NAIMIKO prod, 

je suis né à Montélimar (26) le 11 mars 1995. 

À l’âge de 13 ans, je rentre à l’AFASEC (école des courses hippiques) à Cabriès (13). 

Je vais y rester 4 ans.

Je fais mes armes sur la région lyonnaise, pour ensuite intégrer l’écurie de Mathieu Boutin basée sur la Région parisienne (Chantilly (60) ). 

 

Ma carrière de jockey commence à prendre un peu d’importance, je commence à gagner des courses, tout va pour le mieux. Mais en septembre de cette année-là, je tombe lourdement sur l’hippodrome d’Évreux. Je me réveille quelques jours plus tard, au CHU de Rouen. Je reste presque 2 ans en arrêt, les chirurgiens me disent que la monte à cheval sera derrière moi dorénavant. 

Je me bats, je cherche tous les professionnels de la santé qui peuvent m’aider. Le 03 mai 2016,

j’ai l’autorisation de remonter en course. 

Je reprends jusqu’en décembre 2016, 6 mois d’activité, 2 victoires, 16 places, mais ma façon d’aborder le métier est différente. Ma santé commence à décliner…

Je vais voir mon neurologue, le verdict est sans appel : il m’interdit de continuer. 

Pendant cette période, ce qui m’a tenu debout, c’est la vidéo…

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Début 2015 à la suite de mon accident, pour combler mes journées à ne rien faire, je m'achète ma première petite camera et je vais sur le bord des pistes d'entraînement et je les filme les chevaux des matinées entières. Une fois la matinée terminée, je me met sur mon ordinateur et je fais mes premiers montages. Arrive ensuite très vite mon envie d'écrire et mettre en images mes histoires. 

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Nous sommes en 2015 et pendant les 3 années qui ont suivi, je suis resté entre ma camera, mes scénarios et des tutos YouTube pour perfectionner mes créations. 

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En 2017, je vais taper à la porte du cinéma de ma ville pour qu'il diffuse mon premier court-métrage de 25 min, j'étais tellement fière. Ce film, j'avais peur de le réaliser, car le projet était trop ambitieux pour le peu de moyen que j'avais et une amie m'avait poussé à le faire en me disant "Mais de quels moyens as-tu besoin ?" "Tu as une caméra, un micro !" "donc fait le !" C'était parti, je devais aller jusqu'au bout. 

 

 

Et en octobre 2017, le film est projeté au cinéma devant 200 personnes.

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Réussir à faire ressentir mes émotions aux autres à travers mes créations est la meilleure des sensations du monde à mes yeux. Je filmais avant même de monter à cheval. La vidéo est pour moi ma première passion. 

Quand j’ai eu mon accident, mes proches et les médecins croyaient que mes yeux resteraient fermés à jamais. Maintenant qu’ils sont ouverts, je compte bien m’en servir ! C’est pour cela que je veux aimer la vie et ce que j’aime dans ma vie : c’est la vidéo !!

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Aujourd'hui j'ai installé avec mon équipe mes studio au village documentaire à Lussas (07), un endroit ou l'équilibre est parfait pour donner toutes les cartes à la créations. 

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Je vous ai raconté les points forts de mon histoire, maintenant je vous laisse la poursuivre avec moi. 

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Korentin Naïmi 

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